Interview, des pilotes, des écuries ....

Vitaly, est le pilote N°2 de Renault, vice champion de GP2 l'année dernière. Le russe raconte ses premier contact avec l'équipe et ses séance d'essais à bord d'une Formule 1.

Vitaly, pouvez-vous résumer vos premiers essais hivernaux avec le Renault F1 Team…
"Pour moi, ce fut une expérience tout à fait nouvelle et j’ai beaucoup appris. Cela fait maintenant un mois que je travaille avec Renault F1 ; je fais connaissance avec l’équipe et j’apprends à connaitre son fonctionnement. J’ai également passé le plus de temps possible au circuit et dans le garage afin d’être à l’écoute de toutes les discussions. On m’a beaucoup aidé et je me suis intégré à l’équipe très rapidement même si je sais fort bien que j’ai encore beaucoup à apprendre."

Quel aspect de la Formule Un vous a-t-il le plus surpris ces dernières semaines ?
Le plus difficile, c’est de comprendre le mode de fonctionnement de la Formule Un, de le vivre de l’intérieur. C’est totalement différent de la GP2. Ici, il y a 500 personnes dans l’équipe et tous sont prêts à vous aider à améliorer et à développer la voiture. L’ampleur et la rapidité de développement sont très différentes de ce dont j’avais l’habitude.

Vous n’avez pas eu beaucoup de chance avec les conditions météorologiques pour l’instant…
"C’est vrai. Les conditions étaient particulièrement mauvaises à Jerez et il a plu hier à Barcelone. Je crois qu’au total j’ai du avoir deux ou trois jours de roulage sur piste sèche, ce qui est un peu pénible pour un rookie car il nous faut apprendre à travailler sur la mise au point dans de bonnes conditions. Il est certain que j’aurais préféré encore avoir des jours de roulage à ma disposition mais il n’y a plus d’opportunité à présent. La météo a été la même pour toutes les écuries alors ça ne sert à rien de se plaindre."

Avez-vous de bonnes relations de travail avec Robert Kubica ?
"Nous nous entendons bien et nous étions ensembles à chaque débrief durant les essais. Nous discutons souvent de choses concernant la voiture en fin de journée. L’objectif de chaque pilote est toujours de battre son coéquipier mais Robert est très expérimenté et je peux apprendre de lui. Lorsque la saison aura débutée, mon but sera d’être aussi proche de lui que possible."

Bon courage à lui

Mark Webber s’est dit choqué par le manque de dépassements lors du Grand Prix d’ouverture de la saison à Bahreïn.

Beaucoup ont trouvé la course de Sakhir bien ennuyeuse dimanche dernier, et certaines équipes comme McLaren Mercedes et Mercedes GP ont même appelé à prendre des mesures immédiates pour améliorer le spectacle.

Après Michael Schumacher, Lewis Hamilton et Fernando Alonso à avoir fait part de leur mécontentement pour le manque d’action à Bahreïn, Mark Webber est le dernier pilote qui ne cache pas sa déception.

"C’était assez ennuyeux. J’ai passé 48 tours à regarder Schumacher et puis Button et il n’y avait rien que je pouvais faire pour les passer. J’ai tout essayé – différentes trajectoires, la pression, tout. Mais ils sont tous deux de bons pilotes et aucun d’eux n’a commis une erreur," a déclaré Mark Webber au journal australien Daily Telegraph.

Le pilote Red Bull Racing, qui a terminé huitième à Bahreïn, espère que les prochains circuits offriront plus d’opportunités de dépassement. Il admet également qu’il a été "choqué" par la difficulté de dépasser.

"J’étais plus rapide que lui [Jenson Button], mais je n’ai pas été capable de trouver un espace pour le passer. Il n’a pas commis une erreur et si j’avais essayé de forcer le passage, ça se serait terminé par un accident."

"J’ai été assez choqué par la difficulté à dépasser et ça n’est pas de bon augure pour toutes les courses à un arrêt du calendrier, quand tout le monde suivra assez bien la même stratégie. Nous pouvons seulement espérer que d’autres circuits se prêteront à plus de dépassements que Sakhir."

Certains pensaient que le style de pilotage de Jenson Button, qui économise beaucoup ses pneus, serait un avantage cette année, avec des relais plus longs qu’auparavant.

Mais à Bahreïn, la dégradation des pneus n’a pas été un problème et le pilote McLaren a lui-même reconnu qu’il n’avait pas été assez agressif dans son pilotage.

Après cette course décevante, Jenson Button sait qu’il doit améliorer ses réglages pour pouvoir se mesurer à Lewis Hamilton.

« On peut progresser » a confié le champion du monde au Guardian. « Je ne suis pas totalement satisfait de la voiture, mais c’est une histoire de réglages parce qu’elle est bonne. C’est souligné par le fait que Lewis a fait du bon travail pour monter sur le podium, et ça montre que l’équipe est bonne. »

Button reconnaît que la MP4-25 n’est pas totalement adaptée à son style de pilotage : « Mais il y a des domaines sur la voiture où nous devons faire des progrès, on pourrait dire que c’est une faiblesse, pour qu’elle me convienne mieux, donc je vais travailler sur ça pour Melbourne. »

Et alors que de nombreux observateurs pensent que Jenson Button passera toute la saison derrière Lewis Hamilton, le principal intéressé pense qu’il peut rapidement progresser.

« Si vous voulez écrire ça, écrivez le » a lâché Button au Daily Mail. « Oui, Lewis a fini devant moi. Il a fait du meilleur travail. Mais je ne pouvais pas faire mieux en course. Les qualifications n’ont pas été bonnes mais en courses je n’aurais rien pu faire de plus, j’ai été dans le trafic. »

« Mes performances étaient bonnes mais Lewis est un pilote exceptionnel. Ce serait difficile pour n’importe quel pilote d’arriver et de battre quelqu’un comme Lewis mais je travaille pour progresser en qualifications, pour avoir une voiture qui me convient en qualifications, et je suis satisfait de mes progrès. »

Les deux pilotes McLaren ont tous les deux gagné des places grâce à de bons arrêts aux stands mais en course, Button pense qu’il ne pouvait pas rattraper le temps perdu en qualifications. « Toutes les voitures sont passées aux stands en même temps et personne ne s’est doublé » a-t-il précisé.

Ouai c'est vrai que c'était ennuyeux, mais bon avec tout leur changement et le reste, c'est moins plaisant à regarder.

Mon père me demandais comment sa ce passait pour les arrêts aux stand quand il pleut??

Ils peuvent rentrer quand même changer de pneus?? Je comprend pas trop en faite qu'ils ont arrêter les arrêts aux stand

oui bien sur ils peuvent faire autant d'arrêt au stand qu'ils veulent. Simplement le plein d'essence qui est interdit. C'est pour éviter les dépassements dans les stands, ils veulent que les dépassements ce fasse sur la piste. Le problème, tout le monde économise les pneu pour faire un seul arrêt donc il n'y a pas d'attaque.

Bas ouai je trouve sa un peu bête. Chacun son point de vue, mais pour moi justement je trouve que sa donne du piment quand il y avait les stands.

Et puis les pneus doivent prendre un coup ta pas une photo d'un pneu en fin de course??

wé moi aussi, au moins au voyaient des pilotes qu attaquer qui faisaient des fautes. Je vais voir ça

j ai vue sur article que les constructeur vont demande que les pneu soit beaucoup plus tendre et vraiment dur pour les dur affaire a suivre

wé ça serrait une solution, mais je pense qu'il faut attendre quelque GP car la les équipes ne savent pas tout exactement sur l'usure et la consommation du carburant, elle sont donc un peu méfiante au début.

Alonso à l'arrivée, en pneu dur.

Ouai sont bien attaquer quand même, Mais bon je croyais pire que sa.

Ce n'est plus des pneus qu'il a là, c'est du chewingum !

Mdrr bien mastiquer alors

Oui tellement mastiquer qu'il n'a plus de gout !

wé et depuis un moment, c'est souvent à la fin des grand prix qu'on voit des fautes. La fatigue )physique et mental plus l'usure des pneus ne facilite pas le pilotes

près plusieurs mois sans réelle nouvelle, USF1 annonçait au mois de janvier dernier que Jose Maria Lopez serait l’un des ses pilotes titulaires pour la saison 2010.

Mais voilà que quelques semaines plus tard, le rêve de l’équipe américaine de participer au championnat du monde de Formule 1 tomba à l’eau, laissant par la même occasion le pilote argentin sur la touche.

Aujourd’hui Lopez, qui s’est senti trahi par USF1, critique l’équipe de Charlotte pour lui avoir menti sur la réalité de son projet.

"Il m’est difficile de dire que nous nous sommes trompés. Je pense que nous avons placé trop de confiance dans ce que nous disaient les gens," a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse organisée par l’Argentine Automobile Club.

"Dès que je suis arrivé à Charlotte en février, j’ai réalisé que tout ce qu’ils disaient n’était pas vrai. Ce qui nous est arrivé était impensable : en 60 ans de Formule 1, il n’est jamais arrivé qu’une équipe se soit engagée et renonce. Ils nous ont caché des choses."

Quoi qu’il en soit, Lopez ne désespère pas pour autant et reste les yeux rivés sur la catégorie reine du sport automobile. Aujourd’hui, son objectif est de décrocher un poste de pilote d’essai.

"Mon idée est d’aller de l’avant, de ne pas baisser les bras. Tout le monde sait ce qu’il s’est passé. Nous allons continuer, même si nous n’avons pas de projet ferme au jour d’aujourd’hui," confie le natif de Río Tercero.

"Bien sûr, ce n’est plus la même chose. Il y a eu beaucoup de coups et je ne sais pas combien de temps ma famille et moi pourrons le supporter. Faire des essais serait le plus simple car courir en F1 est pratiquement impossible cette année. À un moment donné, je prendrai des décisions."

Jules Bianchi ainsi que Mirko Bortolotti et Daniel Zampieri ont pris hier les commandes d’une F2008 prêtée par le département F1 Clienti de Ferrari sur le circuit de Fiorano dans le cadre du Ferrari Driver Academy.

Bianchi, qui avait été convié à piloter une Ferrari F60 en décembre dernier sur le circuit de Jerez de la Frontera, est ressorti satisfait de ses performances.

"Depuis Jerez, j’ai beaucoup gagné en confiance avec la voiture. Aujourd’hui, il s’agissait d’atteindre la limite. En collaboration avec les techniciens de l’Académie, j’ai travaillé pour améliorer mes performances," a déclaré le Français.

De son côté, Bortolotti était de retour au volant d’une Formule 1, plus d’un an après ses derniers essais qui s’étaient déjà déroulés à Fiorano.

"Ce sont toujours de bonnes sensations. Ce fut une bonne expérience (en novembre 2008, ndlr) et ça en a été une aujourd’hui. Ça a toujours été mon rêve de piloter une Ferrari avec une telle équipe. Tout pilote veut ça," a confié l’Italien.

"Je suis satisfait et honoré d’avoir cette opportunité. Mon rêve est de courir un jour en F1 et il n’y pas de meilleur entraînement que ça. Je veux me servir de chaque kilomètre pour apprendre, progresser et faire partie de l’équipe, avec ces techniciens extrêmement compétents."

Zampieri s’est lui aussi montré très enthousiaste : "Participer à la Ferrari Academy est le but de tout pilote, surtout des Italiens. Cette opportunité confirme que je suis dans la bonne direction. Je donnerai tout pour répondre aux attentes."

Le chef du projet, Luca Baldisserri, était également content de la façon dont s’est déroulée la journée d’hier.

"Il s’agissait de l’entraînement physique et mental, mais nous avons aussi fait une vérification physique pour vérifier la santé des pilotes et leur niveau d’entraînement. Le test d’aujourd’hui était très intense car trois pilotes se sont partagés le volant d’une monoplace de F1."

"Nous sommes très satisfaits car nous avons pu voir leurs premières impressions et c’était très intéressant de voir comme de jeunes hommes, sans réelle expérience de la F1, se débrouillent avec des voitures à hautes performances. Les pilotes ont tout donné mais se sont aussi amusés."

Cinq journées de ce genre seront par ailleurs proposées à Bianchi, Bortolotti et Zampieri au cours de l’année.

Michael Schumacher a demandé au directeur de course de la FIA, Charlie Whiting, une clarification sur ce que peuvent faire les pilotes en qualifications, énervé après avoir été bloqué ce samedi après-midi par Fernando Alonso et Lewis Hamilton.

Sa septième place lors des qualifications de Melbourne l’a laissé mécontent car ses efforts pour améliorer ses temps ont été réduits à néant par Fernando Alonso et Lewis Hamilton à différents moments de la séance.

Michael Schumacher était tellement énervé par la façon dont Fernando Alonso a piloté devant lui à la fin de la Q3, alors qu’il était dans un tour rapide, qu’il est allé parler à l’Espagnol après les qualifications. Il a ensuite été trouvé Charlie Whiting pour discuter de la question.

"En gros, sur mon dernier essai, j’ai été ralenti par lui," a expliqué Michael Schumacher en parlant de Fernando Alonso. "Je lui ai demandé si l’équipe lui avait dit [que j’étais sur un tour rapide] et il a dit non."

"Dans un sens, c’est difficile car il était sur son tour de rentrée, et il se souciait d’autres choses que peut-être regarder le rétroviseur. Mais à ce sujet, nous avons eu cette discussion hier au briefing des pilotes concernant le fait qu’il fallait y faire attention, et en réalité il était l’un des principaux gars à demander cela."

"Je voulais savoir si l’équipe lui avait dit ou pas, et ensuite j’ai eu une conversation avec Charlie à ce sujet car je voulais savoir quelle est la marche à suivre ici – et si les règles ont changé un peu par rapport à d’habitude. J’ai dit à Charlie que je devais savoir ce avec quoi il serait d’accord, et pas d’accord."

Quand il a été interrogé sur Lewis Hamilton en Q2, Michael Schumacher a ajouté : "J’ai eu un problème similaire avec Lewis. Il adaptait son tour et préparait son tour, et me bloquait en un sens – ce qui n’est pas très sympa. Si vous êtes derrière, que vous essayez de faire de votre mieux, ce que je fais à l’heure actuelle, et qu’ensuite quelqu’un vous ralentit, ce n’est pas très agréable."

L’incident entre Michael Schumacher et Fernando Alonso n’était pas le seul problème du genre ce week-end au Grand Prix d’Australie. Plusieurs incidents similaires ont eu lieu durant tout le week-end. Pedro de la Rosa a même été réprimandé par les commissaires après la troisième séance d’essais libres, pour avoir gêné un autre pilote.

Qualification Mclaren

Jenson Button avait déçu en qualifications à Bahreïn. Le champion du monde s’est rattrapé en Australie, en signant le quatrième temps, entre les deux Ferrari. Le comportement de sa McLaren n’était pas idéal mais il ne pense pas que cela lui a fait perdre une place.

« Après nos bonnes performances d’hier, ce matin la voiture ne marchait pas aussi bien que prévu » explique Button. « On manquait d’adhérence, il semblait que les voitures devant nous avaient plus d’appuis. Mais les qualifications se sont bien passées. »

« J’ai été satisfait de la voiture sur tous les tours, sauf le dernier en Q3. Je ne sais pas si le vent s’est levé, mais je ne pense pas que c’était aussi bon que dans les deux premières séances. Je n’avais pas un aussi bon équilibre, avec plus de sous-virage, mais cela ne m’a fait perdre qu’un ou deux dixièmes. »

« Donc j’aurais pu faire un meilleur tour en 1’24’’4, ce qui est toujours à une demi-seconde des meilleures. Nous ne sommes pas encore dans le coup, mais on progresse, nous sommes plus proches qu’à Bahreïn. Je suis satisfait des performances de l’équipe ce week-end. Nous avons tiré le meilleur du package que nous avons pour le moment. »

Lewis Hamilton a signé la grosse contre-performance de la séance. Pour la première fois de la saison, un membre d’un top team est éliminé dès la Q2. Il a abandonné son premier relais à cause du trafic et il n’a pas été assez rapide à la fin de cette partie de la séance.

« C’est une surprise, je ne m’attendais pas à être éliminé en Q2 » déplore l’Anglais. « Je sens que j’ai fait ce que je pouvais dans la voiture, mais je n’avais pas d’adhérence avec les pneus. Sur mon premier tour en Q2, j’ai eu du trafic, je n’ai pas pu faire un tour rapide. Je suis rentré aux stands, j’ai eu un tour clair mais j’ai eu du mal dans le dernier secteur, même avec des pneus neufs. Je ne sais pas pourquoi. »

« Ce n’est pas une bonne journée mais c’est encourageant de voir que Jenson a fait du bon boulot. J’espère que nous vivrons tous les deux une bonne course demain. »

3 question à Kimi Raikkonen

Vous avez marqué vos premiers points en Championnat du Monde en Jordanie. Est-ce un premier objectif atteint cette saison ?

Pour mon troisième rallye en WRC avec la C4, mon seul objectif était d’être à l’arrivée en Jordanie. Nous avons découvert des conditions particulièrement difficiles avec des routes très particulières, très glissantes et avec très peu de repères. La première journée était sans doute la plus dure de ma courte carrière en rallye ! C’est donc une satisfaction d’être pu passer à travers tous les pièges et de ne pas avoir fait de grosses fautes. Nous n’avons pas été très rapides mais c’est un passage obligé pour progresser.

Comment voyez-vous votre progression au volant de la Citroën C4 WRC ?

Le terrain était très différent de celui que nous avions rencontré au Mexique. Là-bas, je m’étais senti en confiance. J’avais décidé d’attaquer davantage et je suis sorti. En Jordanie, nous avons préféré conserver un rythme sûr pour être à l’arrivée. Chaque kilomètre me permet d’apprendre le comportement de la Citroën C4 WRC et l’attitude à adopter au volant. Au terme de chaque spéciale, j’ai le sentiment d’avoir progressé. Je commence à me sentir plus à l’aise et je m’amuse en WRC, c’est peut-être le plus important !

Ces kilomètres en Jordanie vous permettent-ils d’aborder le Rallye de Turquie avec plus de confiance ?

En Turquie, nous allons encore découvrir un environnement très différent. L’expérience vient petit-à-petit mais chaque rallye est nouveau. L’objectif sera une nouvelle fois d’être à l’arrivée. Nous verrons où nous nous situerons en début de course et, si la situation le permet, nous essaierons de réduire l’écart.

Il à l'air de pas mal se plaire en rallye, je me demande si un jour il reviendra en F1, surtout si il commence à bien progresser.

Il veut, seulement si il a une voiture pour gagner, sinon il continua en rally, on serra en milieu de saison

Ok d'accord, ben croisons les doigts alors